Ces personnes ont vécus au Mallouestan à nos côtés et sont décédées depuis, souvent rattrapées par leurs tares génétiques et leur corps marqué pour toujours par l’exploitation subie. D’autres se sont enfuis ou ont été victimes de prédation, rarement évitables à 100 %. Certaines personnes n’ont pu profiter que de quelques semaines de vie sans exploitation mais nous avons considérés qu’il s’agissait quand même de victoires pour elleux.
Ne les oublions pas.